Julien I Chapters 19-20
Chapitre 19
Réveil
Se réveiller entre deux amis occupés à caresser doucement vos parties les plus délicates n'est pas la pire façon de refaire surface après une nuit d'un sommeil sans rêves. Julien aurait volontiers profité de la situation si le raal absorbé la veille n'avait manifesté un désir impérieux de retourner à la terre. Saisissant la main d'Ambar, il l'écarta de son entrejambe, se tourna vers sa droite et embrassa le bout du nez du gamin étonné :
“Bonjour Ambar. Si tu veux bien me laisser une minute, il faut que j'aille pisser.”
Puis, se tournant vers Niil :
“Bonjour à toi Niil. Il faut vraiment que j'y aille.”
Rejetant le drap, il se dirigea vers la salle d'eau, aussitôt suivi d'Ambar, visiblement d'humeur espiègle.
“Moi aussi, il faut que j'y aille. Ça ne te dérange pas si je t'accompagne ?”
Julien n'en était plus à se formaliser pour une telle broutille, bien qu'il soit un peu inquiet sur la possibilité de pisser avec une queue aussi raide que la justice. Et si Ambar, qui était dans le même état, continuait de se coller à lui, il y avait peu de chances pour que les choses s'arrangent. Malgré tout, résigné à son sort, il répondit avec seulement une pointe d'ironie :
“Non, bien sûr. Fais comme chez toi.”
L'endroit rappelait une toilette à la turque et il furent bientôt côte à côte s'efforçant d'uriner malgré leur érection. Julien essayait bien de penser à autre chose qu'au spectacle que lui offrait le gamin, mais c'était difficile. Ce dernier, parfaitement conscient de l'effet qu'il produisait, avait découvert soigneusement son gland “il ne faut pas plaisanter avec l'hygiène, n'est-ce pas” et commentait ses efforts tout en souriant d'un air coquin.
“C'est vraiment pas facile, hein ? D'habitude, ça se ramollit un peu mais là, je sais pas pourquoi, ça veut pas redescendre. Regarde. Ah ! Ça y est, ça commence à sortir.”
En effet, une brève giclée pâle venait de jaillir, éclaboussant le mur de marbre.
“Oups ! Trop haut. Mais si j'essaie de la plier, plus rien ne vient. Et toi, tu n'y arrive pas non plus ?”
“Non, je me demande bien pourquoi.”
En fait, quelque chose s'écoulait bien de sa queue, mais ce n'était que ce liquide transparent, lubrifiant et pratiquement sans aucun goût ( il avait essayé à plusieurs reprises ) qu'il produisait, sans pouvoir s'en empêcher, depuis quelque temps, à chaque fois qu'il se mettait à bander. C'était pratique et ça lui évitait d'avoir à cracher dans sa main. Mais c'était aussi gênant, lorsque ça mouillait son slip. Plusieurs fois, ça avait fait une tache humide sur son short et il avait eu beaucoup de chance que personne ne s'en soit aperçu.
“Heu... Tu pourrais peut-être m'aider, insista Ambar en se tournant carrément vers lui.”
“Hein !?”
“Ben oui. Tant que ça restera raide, comme ça, j'y arriverai pas. Tu n'aurais pas une idée, pour arranger ça ?”
“Je ne vois vraiment pas ce que tu veux dire.”
Depuis la chambre, Niil intervint :
“Allez, sois gentil, fais ce qu'il te demande. Après il te laissera peut être pisser en paix.
Julien aurait eu mauvaise grâce à refuser de céder. D'autant qu'il lui fallait bien s'avouer qu'il en mourait d'envie. Il se saisit donc de l'appendice qu'on lui présentait avec la ferme intention de rendre le service demandé, mais Ambar avait une idée précise de la manière de procéder.”
“Attends, pas comme ça.”
Tournant le dos à Julien, il vint se placer contre son ventre et guida sa main jusqu'à son membre. Julien était admiratif. C'était à la fois très efficace “la prise était aussi naturelle que s'il manipulait sa propre queue “et extrêmement érotique : son sexe logé au bas des reins d'Ambar, son scrotum massé entre ses fesses, les fragiles omoplates contre sa poitrine, le velours ras et faiblement parfumé des cheveux juste sous son nez, le ventre souple sous la caresse de sa main gauche, tout cela formait un ensemble bouleversant. Alors qu'Ambar se laissait complètement aller contre lui, il fit glisser lentement la peau si fine, translucide, couvrant et découvrant l'extrémité qu'on eût dit à vif, accélérant progressivement à mesure que montait sa propre excitation. Il était de plus en plus conscient de son membre lubrifié qui allait et venait voluptueusement, serré entre son ventre et les reins du jeune garçon. Ils ne faisaient plus qu'un, il percevait la progression du plaisir imminent d'Ambar et il avait l'impression que c'était lui-même qu'il caressait ainsi.
Puis Ambar se tendit, tous ses muscles contractés alors qu'il poussait de nouveau ce drôle de petit cri de souris. Il demeura ainsi, tremblant, pendant de longues secondes où Julien resserra son étreinte. Puis il se détendit, s'abandonnant avec un soupir satisfait. Mais comme Julien allait le relâcher, il l'en empêcha :
“Non, reste comme ça. S'il te plaît.”
Et, alors que sa queue retrouvait sa souplesse sous les doigts de Julien, il laissa échapper un flot tiède et doré que ce dernier sentit distinctement comme une vibration dans le tube de chair entre ses doigts. Et cela, plus que la violente secousse quelques instants auparavant, suffit à le faire basculer, lui aussi, dans un orgasme si brutal qu'il sentit ses genoux faiblir et qu'il dut faire appel à tout ce qu'il lui restait de contrôle sur son corps pour ne pas serrer à l'écraser l'oiseau qui nichait dans sa main.
“Pfff ! Je crois que moi aussi, je vais pouvoir pisser. Je peux te lâcher maintenant ?”
Ambar se retourna avec un grand sourire et lui planta un baiser sur la joue.
“Merci. Et...”
“Oui ?”
“Tu veux que je te la tienne ?”
Contrairement à ses expériences coupables du passé, s'il n'était pas positivement guilleret, Julien n'était pas vraiment triste. Et il était de nouveau tout surpris de ne pas ressentir la moindre trace de cette honte qui avait toujours empoisonné son plaisir. Mais il ne se sentait pas vraiment d'humeur à folâtrer immédiatement. Cependant il était vraiment impossible de résister à ce lutin hilare.
“Si ça peut te faire plaisir...”
À l'évidence, ça lui faisait plaisir. À tel point que, dans son enthousiasme à faire des arabesques avec le jet abondant de son compagnon, il finit par arroser et ses pieds, et ceux de Julien. Sans compter une surface importante à l'entour de l'orifice d'évacuation. La dernière goutte dûment essorée, Julien soupira :
“Bon, si tu as fini de t'amuser, je pense qu'on est mûrs pour prendre une douche.
“Oh ! Oh ! Pas si vite. Et moi, je reste comme ça ?
Niil se tenait là, debout, flamberge au vent, manifestement en proie au même problème de tuyauterie. On ne pouvait le laisser ainsi.
Il eut droit au traitement d'urgence. Deux fois plus de mains, deux fois plus de doigts, deux fois plus de sensations... et en un temps record, un choc qui le laissa pantelant.
Ambar eut encore le privilège d'arroser le carrelage alors que Julien se tenait prudemment à l'écart. Puis il prirent enfin une douche nécessaire avant de réclamer à un Tannder aux petits soins un petit déjeuner propre à compenser toute l'énergie dépensée.
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Izkya était partagée entre la fureur et la terreur ! Elle était littéralement cloîtrée, et dans l'impossibilité de recevoir qui que ce soit à l'exception des Dames de la Suite de la Première Dame et d'Alikya, des Freyhags, sa meilleure amie.
“Tu te rends compte, je ne peux même pas rentrer chez moi ! Je ne peux voir personne ! À part toi, bien sûr. Je te remercie d'être ici. Mais je trouve que c'est trop !”
“Si j'ai bien compris, quelqu'un a quand même envoyé des ghorrs pour te tuer.”
“Ça, c'est ce que dit mon père.”
“Ils n'en avaient sûrement pas après le Ksantiri, il n'est que Troisième Fils, autrement dit rien du tout.”
“C'est vrai... Et ils ne peuvent pas non plus viser Julien, c'est un complet étranger. Il n'est même pas du R'hinz.”
“Ça, c'est vraiment extraordinaire !”
“Parce qu'une attaque en volebulle et des ghorrs, c'est tout à fait banal...”
“Ce n'est pas ce que je voulais dire. Je serais morte de peur si ça m'était arrivé. Mais un mystérieux étranger...”
“Tu sais, il n'a rien d'extraordinaire, à part des cheveux de fille. Très beaux d'ailleurs, j'en connais beaucoup qui donneraient cher pour en avoir de pareils.”
“On dirait qu'il te plaît bien, non ?”
“Tu es folle ! Il est beaucoup trop jeune, il a plus ou moins le même âge que Niil ! Et puis, c'est un sans-famille et il est franchement mal élevé.”
“Oui ? Eh bien je trouve que c'est dommage de ne pas pouvoir le rencontrer. À la façon dont tu en parles, je suis sure qu'il est plutôt intéressant. Comme ton cousin Niil, d'ailleurs. Moi, je l'aime bien, ton cousin Niil.”
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Sire Aldegard vint prendre des nouvelles de Julien dès qu'il en eut le loisir. Et après l'avoir assuré qu'il se sentait aussi bien que possible et que les médecines des Maîtres de Santé étaient parfaitement efficaces, ce dernier, un peu embarrassé aborda un sujet qui le tourmentait depuis un moment :
“Premier Sire, hier soir, après que... Enfin... Quand les Maîtres ont eu fini. Bon... Je n'étais vraiment pas bien, mais je vous ai entendu parler de faute et de Conseil, d'Ordre des Passeurs... Est-ce qu'ils vont avoir des ennuis ?”
“Certainement ! Ce qu'il t'ont fait est grave. Je suis heureux que tu t'en tires à si bon compte.”
“Justement, je voulais vous dire. Je n'en suis pas mort. Je vais bien maintenant. Vous pouvez leur dire que je ne leur en veux pas ?”
“Si c'est vraiment ce que tu penses, tu leur diras toi-même demain. Pour l'instant, je crains qu'il ne soient occupés à rendre des comptes à leurs conseils respectifs.”
“Justement. Ce ne serait pas juste qu'ils aient des problèmes à cause de moi. Vous savez, c'est moi qui leur ai dit de continuer. Peut-être que je pourrais le dire ?”
“Julien, tu n'as pas à te sentir responsable. Ce sont des Maîtres, tous autant qu'ils sont. Ils sont censés savoir ce qu'il font. Ils ont commis une lourde faute. Mais, si tu insistes, je transmettrai moi-même ta déclaration aux Conseils.”
“Merci. Et...”
“Oui ?”
“Premier Sire, je voudrais vous demander une faveur. Si ça n'est pas abuser...”
“Demande toujours.”
“Puisque ça va mieux, je voudrais bien aller me promener avec Niil et Ambar. Et puis peut-être, ajouta-t-il après une seconde d'hésitation, peut-être que votre Noble Fille...”
“Il est hors de question que je laisse Izkya quitter la Tour tant que nous n'aurons pas découvert qui en veut à sa vie. Mais je consens à vous accorder ma permission à condition que vous soyez accompagnés d'un Gardien.”
Les trois garçons remercièrent comme il convenait et, comme le Premier Sire allait les quitter pour donner ses ordres, Ambar ajouta timidement :
“Premier Sire, si c'est possible, est-ce que le Gardien Askil pourrait nous accompagner ?”
Le Premier Sire eut un petit rire :
“Qu'il en soit fait selon le souhait du Noble Fils Ambar, des Ksantiris. C'est un bon choix, Askil a fait preuve de bon sens en ne t'envoyant pas, d'un coup de pied, rouler dans l'herbe de la pelouse, ainsi que le méritait ton insolence.”
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Chapitre 20
Promenade
Quelques minutes plus tard, Tannder introduisait Askil.
“Nobles Sires, je vous souhaite le bonjour. Et, Noble Fils Ambar, je vous prie d'accepter mes félicitations et mes meilleurs vœux de bonheur au sein de votre Noble Famille.”
Ambar, pour une fois pris de court, se contenta de rougir et de baisser la tête avec un marmonnement confus. Ce fut Niil qui répondit à sa place.
“Honorable Gardien, mon frère et moi vous remercions de vos aimables souhaits. Puissent les Puissances du R'hinz combler tous vos désirs. Et maintenant, Askil, s'il vous plaît, abandonnez le Haut Parler et emmenez-nous en ville. Julien a hâte de visiter Aleth.”
“Je suis ici pour cela. On m'a libéré de tout service. Où souhaitez-vous aller, Honorable ? Demanda-t-il en se tournant vers Julien.”
“Je mangerais bien encore un peu de douceneige, si vous voulez bien.”
“Et on pourrait aller jusqu'à l'Aire du Palais, intervint Niil, comme ça, tu pourrais essayer de marcher sur les dalles !”
“Oui !!! s'écria Ambar enthousiaste. Et si tu veux, on pourra aussi aller dans le Grand Marché, il y a des tas choses qui viennent de partout dans le R'hinz. Mais, ajouta-t-il, on n'aura sûrement pas le temps de tout faire. Rien que pour aller en ville, ça fait déjà très loin, il va nous falloir un temps fou pour y arriver.”
“Je ne crois pas. C'est l'avantage d'être avec un Gardien. N'est-ce pas Askil ?”
“C'est exact, Noble Sire. La Garde de la Maison première dispose de glisseurs. Je pense que le Premier Sire ne verra pas d'inconvénient à ce que nous en utilisions un. En fait, ajouta-t-il avec un sourire, Sa Seigneurie m'a même recommandé d'en prendre un.”
Au bas de la Tour, le glisseur en question ne payait pas de mine mais Julien fut tout de même profondément surpris. Il s'était attendu à une sorte de tapis volant ou à un genre de moto exotique, mais il resta sans voix quand on lui présenta la chose. C'était une espèce de grosse chenille à la peau semblable à du cuir noir sur laquelle on s'asseyait à califourchon en s'accrochant à la taille de celui qui vous précédait. Le premier passager, en l'occurrence Askil, disposait d'une sorte de bride qui lui servait à se tenir en selle. Comme la bête faisait bien trois mètres de long, ils y tenaient à l'aise. Lorsqu'il furent bien installés, Askil se pencha et murmura quelques mots. La chenille s'éleva légèrement, comme si elle se dressait sur ses pattes et se mit a foncer à toute vitesse le long d'un des nombreux chemins qui parcouraient les parcs et bosquets. Julien s'accrochait de toutes ses forces à Askil qui riait de bon cœur, heureux de la surprise des deux novices, Julien et Ambar, dont c'était la première expérience. Ambar, d'ailleurs, que Niil avait pris soin de placer devant lui, après avoir serré cruellement les flancs du malheureux Julien, se mit bientôt a pousser des cris ravis lorsque leur monture prenait des virages à grande vitesse, les obligeant à s'incliner de manière impressionnante, ou dévalait une pente inattendue qui leur donnait l'impression de flotter un instant, débarrassés de la pesanteur. Mais les meilleures choses ont une fin et, comme ils approchaient des rues animées de la ville, ils quittèrent le glisseur qui se mit à brouter tranquillement l'herbe d'une pelouse.
Ils étaient à l'extrémité de la fameuse avenue où Ambar avait croisé pour son malheur le chemin du Guerrier d'Yrcadia. Mais dans la clarté du jour, plus rien ne laissait soupçonner les dangers qui rôdaient la nuit. C'était de nouveau le domaine des enfants, des badauds innocents et des marchands de douceurs . Et quelles douceurs ! Tout le monde eut droit à une triple ration de douceneige, offerte par Ambar, tout fier de pouvoir lancer nonchalamment au marchand :
“Sur le compte des Ksantiris, Honorable !”
Bientôt, ils arrivèrent au bord de l'Aire du Palais où se cachait, au dire de tous, la mystérieuse demeure de l'Empereur. Il y avait peu de monde : la chaleur déjà excessive poussait les gens vers les ombrages des avenues ou la fraîcheur des échoppes. La surface des dalles multicolores brillait comme si l'on venait d'achever de la polir et se transformait, à mesure que le regard portait plus loin, en un miroir scintillant où se reflétait le ciel d'un bleu rendu presque blanc par la canicule. Enfin, si loin qu'on se demandait s'il s'agissait encore d'Aleth, des bâtiments rendus minuscules par la distance marquaient les limites de cette démesure.
“Alors, tu veux toujours essayer ? Demanda Niil.”
“D'accord. Tu viens avec moi ?”
“Bien sûr, pourquoi pas ?”
“Je peux venir aussi ?” Demanda Ambar .
“Je ne laisserais pas mon petit frère. Sans moi, il ne sais plus se moucher.”
Ambar lui fit la grimace la plus laide se son répertoire puis, se tournant vers Askil :
“Et vous Askil, vous venez aussi ?”
“Non, Noble Fils, moi je reste au bord, pour rire un bon coup.”
Ambar et Niil saisirent chacun une main de Julien et les trois garçons s'avancèrent sur la première dalle. Celle-ci leur renvoyait leur image sur fond de ciel. Elle était curieusement fraîche alors que le sol, à l'extérieur, était brûlant au point qu'on en sentait la chaleur au-travers des sandales. La suivante ne se distinguait de la première que par une infime nuance dans sa couleur ambrée. Lorsqu'ils s'y aventurèrent, elle émit un son ténu, cristallin, qui flotta un instant dans l'air. Pris d'un doute, Ambar se retourna, mais tout ce qu'il vit, c'était Askil qui les observait à quelques mètres de là avec, sur les lèvres, un sourire prêt à se transformer en éclat de rire lorsqu'ils commenceraient à rebrousser chemin en s'imaginant marcher droit devant eux. Lorsqu'ils s'avancèrent sur la dalle suivante, ils eurent droit à un concert de pépiements d'oiseaux. Ils avaient l'impression de se trouver au milieu d'un vol de moineaux tourbillonnants. Le vacarme cessa au bout de quelques instants. Cette fois, ils se retournèrent tous les trois, conscient qu'ils étaient sans doute allés aussi loin que le leur permettrait jamais la nature singulière du lieu. Askil leur souriait toujours et leur fit de la main un petit salut ironique. La quatrième dalle était d'un bleu profond de lapis-lazuli. Elle n'émit aucun bruit, mais l'air parut onduler, ainsi qu'il le fait au-dessus d'une route surchauffée, brouillant la vision de l'étendue devant eux. Ils se retournèrent mais, au lieu d'Askil, ils ne virent cette fois que la même ondulation de l'atmosphère.
“Ça y est, ça commence, dit Niil, la prochaine fois, on va se retrouver dehors.”
“Avançons, on verra bien, suggéra Julien.”
Ils avancèrent résolument dans la direction qu'ils avaient prise au départ.
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